L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
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Liste des publications du Cercle les "Petits cahiers"
Tueries avec la participation de la Sipo, SD, des SS, Waffen-SS, de la Orpo (policiers d’ordre), de la Wehrmacht, des Einsatzgruppen, des Volksdeutsche, d’auxiliaires ukrainiens, lettoniens, lituaniens, expulsions, germanisation de l’espace.
Gérard Noiriel, Une Histoire populaire de la France, De la guerre de Cent ans à nos jours.
Par l’action d’Aristides de Sousa Mendes, près de 30 000 personnes, dont 10 000 juifs, échappent aux nazis.
Yo Laur, femme peintre, franc-maçon, déportée à Ravensbrück. Des dessins témoignent des conditions de vie des déportées.
Des biographies, en partie inventées, en partie non inventées, mais tout est vraisemblable, en Allemagne, depuis 1933.
Un endroit terrible, un lieu de mort, du côté de Minsk, ein „Schreckensort“, ein „Ort des Todes“
Forces de répression françaises et allemandes dans les politiques de répression, de fusillades et de déportations des Juifs, Tsiganes, résistants. Retranscription des conférences et témoignages. Ajouts de textes.
Enquête pour retrouver les anciens locataires de l’immeuble, 209 rue Saint Maur.
De la polyphonie en littérature juive, "une langue de l’autre souvent devenue langue du soi".
Fernand Devaux, le dernier rescapé du convoi du 6 juillet 1942, est décédé le 30 mai 2018 à Saint-Lô (Manche). Un hommage lui sera rendu le samedi 23 juin à 15 heures, à la Maison des Métallos, 94 rue Jean-Pierre Timbaud, Paris 11e.