L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
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Liste des publications du Cercle les "Petits cahiers"
L’histoire de son grand-père paternel Claudius, prisonnier de guerre déporté à Rawa-Ruska, suscite la curiosité du père Desbois qui ne trouve pas de fosses communes juives.
Des témoins tsiganes et des images d’archives retrouvées en Europe.
Le thème retenu par le jury national pour l’édition 2012-2013 du Concours national de la Résistance et de la Déportation est :
Communiquer pour résister 1940-1945.
On insistera sur l’importance de la communication pour les résistants. On étudiera le rôle joué par la presse clandestine, les tracts, la radio… dans leur combat.
On pourra établir des liens avec des événements postérieurs qui ont montré l’importance de la communication dans la lutte pour la liberté.
L’art en guerre
Témoignage d’un agent de liaison dans la Creuse
Anne Volland, une institutrice alsacienne
Lettres de Mgr Saliège et Théas
S’exprimer en tant qu’artiste, pendant la guerre et sous l’occupation, est très souvent faire acte de résistance
Exposition au musée d’art moderne de la ville de Paris jusqu’au 17 février 2013
Charles Nicolle, jeune résistant FTP, (Francs tireurs et Partisans), instituteur et communiste, ayant comme pseudonyme Karl, est hospitalisé dans le sanatorium pour instituteurs de Sainte Feyre, près de Guéret dans la Creuse où il effectue sa dernière mission d’agent de liaison en livrant des journaux ronéotypés.
Communiquer pour résister
L’art en guerre
1940–1945. La résistance d’une institutrice alsacienne : témoignage de madame Anne Voland, informatrice et agent de liaison
Jean Zay, pièce de Raymond Vinciguerra et de Jean-Manuel Bertrand, 11 janvier 2014 à Cannes.
Conférence sur Jean Zay, 4 décembre 2013
Jean Zay : "Souvenirs et solitude", Textes choisis par Benoît Giros et Pierre Baux, du lundi 25.03.2013 au vendredi 29.03.2013, tous les soirs de 20h30 à 20h55 France Culture, par la compagnie "L’idée du Nord".
Marie-Claude Vaillant-Couturier, résistante, déportée à Auschwitz-Birkenau dans le convoi du 24 janvier 1943, dit le « convoi des 31 000 », de 230 femmes résistantes qui entrent dans le camp de Birkenau en chantant la Marseillaise. Elle est témoin oculaire du génocide des Juifs et des Tsiganes. En août 1944, elle est transférée au camp de Ravensbrück.
Elle témoigne au procès de Nuremberg. « avec mes yeux, ce sont des milliers de morts qui vous regardent »
Langenstein-Zwieberge (code : « B 2 » ou « Malachit »), près de Halberstadt dans le Harz, était un sous-camp de Buchenwald, où 7 000 détenus de 22 pays, en 1944 et 1945 creusent des tunnels en forme de grille (Stollen) dans la montagne, les Thekenberge, pour abriter des usines de pièces de moteurs d’avions.
De nombreux détenus meurent par le travail, "Vernichtung durch Arbeit" ; d’autres sont abattus lors de la Marche de la mort en avril 1945.
Le camp est libéré le 11 avril 1945 par les Américains. Les Soviétiques ont démonté les installations. La RDA, puis la RFA ont utilisé le site.
sans doute "500 000 Tsiganes sur les 700 000 environ qui vivaient en Europe, selon les différentes estimations, sont morts, victimes du nazisme et de ses alliés (à l’exception de la Bulgarie). Ce génocide porte le nom de SAMUDARIPEN. Des milliers de Tsiganes (Sinti et Roma) ont par ailleurs été stérilisés."
Cf. L’internement des Tsiganes en France.1940-1946