L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
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Liste des publications du Cercle les « Petits cahiers »
L’OSE est créée en 1912 à Saint-Pétersbourg par des médecins, pour aider les populations juives défavorisées. Après 1933, elle ouvre des maisons pour accueillir les enfants juifs fuyant l’Allemagne et l’Autriche, puis s’occupe de mettre à l’abri les enfants en France pendant l’occupation.
Ce récit d’Hélène Ramet nous a été transmis par Yvette Lévy, « J3 », déportée par le convoi 77.
Dora Schaul, antifasciste allemande, femme, communiste, juive, résistante qui a dit non, a été internée au camp de Brens, camp d’internement pour femmes du régime de Vichy jusqu’en 1944.
Catégories de discours de haine choisis par l’EGAM
Racisme (notamment anti-Noirs), racisme anti-Roms, haine anti-musulmans, antisémitisme, sexisme, homophobie, haine anti-migrants et négationnisme.
Entre le rire et le temps figé, des territoires au passé lourd.
Tueries avec la participation de la Sipo, SD, des SS, Waffen-SS, de la Orpo (policiers d’ordre), de la Wehrmacht, des Einsatzgruppen, des Volksdeutsche, d’auxiliaires ukrainiens, lettoniens, lituaniens, expulsions, germanisation de l’espace.
Gérard Noiriel, Une Histoire populaire de la France, De la guerre de Cent ans à nos jours.
Par l’action d’Aristides de Sousa Mendes, près de 30 000 personnes, dont 10 000 juifs, échappent aux nazis.
Yo Laur, femme peintre, franc-maçon, déportée à Ravensbrück. Des dessins témoignent des conditions de vie des déportées.
Des biographies, en partie inventées, en partie non inventées, mais tout est vraisemblable, en Allemagne, depuis 1933.