L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
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Liste des publications du Cercle les "Petits cahiers"
Arlette Testyler, arrêtée à 9 ans, à la rafle du Vél’ d’Hiv’, internée à Beaune-la-Rolande, enfant cachée.
Addy Fuchs, déporté à 16 ans dans le complexe d’Auschwitz, les copains, la solidarité
"Le bus pour Drancy", un roman historique de Dominique Marie Godfard
C’est l’Oradour du Nord. Dans la nuit du 1er au 2 avril 1944, Ascq, tranquille petite ville nordiste, est plongée dans l’horreur : 86 habitants sont massacrés par des Waffen-SS de la division Hitlerjugend.
Interview mit NS-Verbrecher : "Ich bereue nichts !" ARD, 29 novembre 2°18
Je ne regrette rien : voir l’interview
http://mediathek.daserste.de/Panorama/Interview-mit-NS-Verbrecher-Ich-bereue/Video?bcastId=310918&documentId=58197594
"C’est quoi la guerre ?
Occupe-toi de ta soupe ! Mange !"
« Louis Calaferte a onze ans en 1939 lorsque la seconde guerre mondiale éclate, c’est son regard, sa parole que l’on va suivre, pas à pas, de la mobilisation à la libération, l’exode, la collaboration, la résistance, les petites gens d’une époque barbare, si proche de la nôtre ; on suit l’enfant qui grandit, on suit celui qui apprend “l’Homme” ».
Série « Ces résistants à ne pas oublier »
Résistants célèbres à la Libération mais tombés dans l’oubli. L’Abbé Glasberg, Danielle Casanova, France Bloch-Sérazin, Honoré d’Estienne d’Orves, Lazare Rachline, Kaminsky...
"Je n’ose pas le dire, mais pour un peintre, c’était d’une beauté incroyable. C’était une nécessité absolue de reproduire, de représenter ça, de garder ça pour la suite." Zoran Music, déporté à Dachau.
Parce que j’étais peintre. L’art rescapé des camps nazis, film de Christophe Cognet, 105 min, 2013
" L’action de ces Justes a contribué à ce que les trois-quarts des 333 000 Juifs vivant en France survivent et échappent à la déportation."
Le projet Aladin a pour but de construire des ponts entre les cultures euro-méditerranéennes.