L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
Pour vos recherches pensez à utiliser le rectangle blanc en haut à droite ! Les articles sont régulièrement complétés et mis à jour.
Le Cercle n’est pas responsable du contenu des pages vers lesquelles des liens sont proposés. Généalogistes s’abstenir.
Buts du Cercle en plusieurs langues
Liste des publications du Cercle les "Petits cahiers"
Les crimes contre l’humanité sont l’extermination, l’assassinat, la réduction en esclavage, la déportation, et tout acte inhumain, ou les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux.
30 avril 2017, journée des déportés : loi du 14 avril 1954, le dernier dimanche d’avril est consacré "Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation"
Lutter pour libérer la France, pays de la Révolution, des droits de l’Homme, du programme du CNR, avec le rétablissement des libertés, de l’égalité, pour retrouver la République. Faire quelque chose.
Femme engagée, résistante très active, elle est arrêtée le 25 février 1943, par la Gestapo.
"Je me considère un peu comme une feuille qui tombe de l’arbre pour faire du terreau. La qualité du terreau dépendra de celle des feuilles. Je veux parler de la jeunesse française, en qui je mets tout mon espoir." Jacques Decour
Le président de la République, Jacques Chirac reconnait officiellement la responsabilité de la France et du régime de Pétain dans la déportation des juifs dans un discours prononcé le 16 juillet 1995.
Dans un camp, une pièce de théâtre tenait en trois phrases : « ich bin, ich war, ich werde sein » (je suis, j’étais, je serai). " 30 mai 17, La Parole errante, hommage à Gatti 19h30, rencontre. Uzeste 40e, dédié à Armand Gatti :
http://www.uzeste.org/wp-content/uploads/2017/07/Manifeste-40e-Web.pdf
Du putsch de Franco à la Retirada, les camps en France et les camps nazis, la Résistance.