L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
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Liste des publications du Cercle les "Petits cahiers"
I. Texte extrait d’un article de Brigitte Vinatier, sur le livre de Virginie Linhart « La vie après » éditions du Seuil, 2012.
II. Texte extrait de « Les camps de la mort ; dessins d’un rescapé » Shelomo Selinger, 2005 ; préface signée par Henry Bulawko.
Considérés comme des "cliques", les mouvements de jeunes antinazis ont été criminalisés par les nazis, ignorés et non reconnus après la guerre.
Les Einsatzgruppen, unités spéciales, en lien avec les unités combattantes, la gendarmerie et la police roumaines, recrutent des auxiliaires locaux : policiers, gardes, miliciens et des Volksdeutsche, des nationalistes ukrainiens, baltes, biélorusses et roumains. Ils massacrent non seulement des civils désarmés, des hommes, femmes et enfants juifs, mais aussi des prisonniers de guerre russes capturés, blessés ou non, en usant de tous les moyens...
Les polices françaises sous l’Occupation (1940-1944). Le 14 août 1941, un décret signé par Pétain enjoint à tous les fonctionnaires de lui prêter serment de fidélité.
"68 policiers et gendarmes ont été reconnus « justes parmi les nations » par l’Institut Yad Vashem. "
14 millions de travailleurs forcés, déportés en Allemagne de 1939 à 1945. Des civils en provenance des pays occupés, des prisonniers de guerre et des détenus des camps de concentration.
Deux poèmes du camp de Klein Mangersdorf de Pierre Créange, militant socialiste SFIO, militant en faveur de la défense des Droits de l’Homme. Poète, il a publié quatre livres de poèmes entre 1925 et 1937. Poème de Drancy de Maurice Level, membre de la Société des Poètes français, arrêté à son domicile à Avon (la ville jumelle de Fontainebleau 77) parce que juif.
Des fusillades et des attaques ont eu lieu à Paris, près de la place de la République, dans des rues, des terrasses de bars et restaurants, lors d’un concert des Eagles of Death Metal au Bataclan, et près du Stade de France, à Saint-Denis, le vendredi soir, 13 novembre 2015, touchant de nombreux jeunes. 130 personnes ont trouvé la mort, il y a eu de nombreux blessés.
Le poète Robert Desnos, résistant, déporté, mort à Terezin en 1945, en Tchécoslovaquie. Il a écrit des poèmes de résistance comme Le Veilleur du Pont-au-Change, Ce coeur qui haïssait la guerre, L’Honneur des poètes (1943), J’ai tant rêvé de toi...
La guerre à l’Est est une guerre totale, à la fois nationale (conquérir l’"espace vital" pour un "peuple sans terre" Volk ohne Raum), idéologique (détruire le "bolchévisme") et raciale (contre l’ennemi juif et les sous-hommes slaves), une guerre d’anéantissement (Vernichtungskrieg) dans le cadre d’une "germanisation" du territoire.
Heinrich Himmler est chef suprême de la SS, chef de la police allemande au sein du ministère de l’Intérieur et commissaire du Reich pour le renforcement de la germanité (Reichsführer-SS, Chef der deutschen Polizei im Reichsministerium des Innern und Reichskommissar für die Festigung des deutschen Volkstums).
Un témoignage sur la vie à Berlin d’une libraire sous le nazisme, sa fuite en 1939 en France jusqu’à son passage réussi en Suisse en 1943.