L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
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Liste des publications du Cercle les "Petits cahiers"
Le 8 mai 1945, la Seconde Guerre mondiale se termine en Europe par la victoire des Alliés.
Avon se souvient et célèbre les trois Justes d’Avon, Paul Mathéry, Rémy Dumoncel, le Père Jacques, sous le nom de "Fête des Justes"
samedi 15 juin 19 au mémorial des martyrs de la Déportation, sur son parvis, à 20h. « Primo Levi et Ferdinando Camon. Conversations ou le Voyage d’Ulysse » qui aura lieu sur le parvis du Mémorial, le samedi 15 juin à 20h.
"L’ Histoire ne s’écrit jamais de façon innocente, les mots sont eux-mêmes une histoire". Pierre Laborie
"Demi-juive", Erna Korn pouvait échapper à la déportation, mais elle n’a pas voulu abandonner sa mère. "Tu dois survivre et raconter", lui a dit sa mère à Auschwitz.
La prison de Montluc est le lieu d’internement de Jean Moulin, de Marc Bloch, des enfants d’Izieu.
Un résistant identifié grâce aux longues recherches d’un petit-fils de fusillés, maquis de Rébénac.
"C’était un jour comme les autres, 6 avril 1994", pièce écrite par Valens Sy Kabarari, survivant, Rwanda 1994
Pour la vérité et la justice.
Suzanne Buisson, née Lévy, militante politique, féministe dès l’âge de 16 ans, principale responsable durant les années 1930 du Conseil National des Femmes Socialistes, morte à Auschwitz. En 1940, elle s’écriait : « Non, la France, la République ne sont pas mortes, mais il faudra se battre, on se battra ».