L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
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Liste des publications du Cercle les "Petits cahiers"
Arlette Reiman-Testyler témoigne dans les classes avec son mari, Charles Testyler.
Elle insiste sur l’existence des Justes qui ont aidé les Juifs en France.
par Marie-Paule Hervieu
Compte-rendu de Marie-Paule HERVIEU
Une autobiographie d’une jeune fille juive arrêtée à deux reprises, le 15 janvier 1943 et le 22 juillet 1944, déportée dans deux camps : Auschwitz-Birkenau et Bergen-Belsen et l’histoire d’une famille juive française, socialement et culturellement intégrée, confrontée brutalement au projet "d’anéantissement des Juifs de Rouen"
Ciné-Histoire et l’Association des Anciens Combattants et Amis de la Résistance, Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris. Projection du film de Mosco 2010 : « Ni Travail, ni Famille, ni Patrie : journal d’une brigade FTP-MOI » (Francs-tireurs et partisans-Main-d’oeuvre immigrée). Projection d’extraits, suivie d’une discussion avec le réalisateur Mosco Levi Boucault, samedi 14 septembre 2013 - 18h30 - Village du Livre, Fête de l’Humanité.
Langue des camps utilisée par les témoins de l’UDA, Union des déportés d’Auschwitz et d’autres déportés. Chaque camp a son propre langage.
La langue est ce que l’on appelle le "Lagerdeutsch", "Lagersprache" un parler de camp qui emprunte aux diverses langues des détenus, avec une pointe de Galgenhumor, sorte d’humour noir.
Des définitions actualisées au fil des rencontres et des lectures.
Recherche des photos et des films amateurs qui montrent la vie familiale et quotidienne des familles juives qui habitaient en Belgique entre 1933 et 1945.
Victor Pérahia a publié un livre intitulé Mon enfance volée, c’est à dire l’internement d’un enfant juif de 9 ans, dans les camps de La Lande (près de Tours), puis de Drancy (20 mois, de septembre 1942 au 2 mai 1944). Puis il est déporté à Bergen-Belsen.
« Les questions "historiques" portant sur la durée de la guerre, les ennemis en présence, les chefs d’état et de gouvernement en activité, la différence entre les dictatures et les démocraties révèlent la nécessité d’une cartographie historique, d’un cours d’histoire avec des repères chronologiques et d’une étude du contexte des histoires individuelles » Marie Paule Hervieu
Le 3 mai 1944 la famille est sur la liste d’un convoi, principalement constitué de femmes et d’enfants de prisonniers de guerre : ils ne savent pas où ils vont, dans des "camps à l’Est de l’Europe ? ".
L’association Ciné-Histoire, engagée dans un travail de transmission des mémoires par le cinéma, vous propose pour la 2ème séance du cycle "l’histoire occultée l’histoire manipulée" un film-débat :
L’Histoire officielle, film argentin de Luis Puenzo
Samedi 16 janvier 2010 à 10h00
au cinéma La Pagode - 57 bis, rue de Babylone - 75007 Paris
L’association Ciné-Histoire vous convie le samedi 14 novembre 2009, 10 heures au cinéma « La Pagode » pour un film-débat sur :
Une journée portée disparue
le 17 octobre 1961, une manifestation d’Algériens
cinéma LA PAGODE 57 bis, rue de Babylone – 75007 Paris