L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
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Liste des publications du Cercle les "Petits cahiers"
Goebbels veut vider l’Allemagne de ses 75 000 juifs qui jusque là étaient protégés par leur travail d’esclaves.
Répression de la résistance par les autorités d’occupation et le gouvernement de Vichy
http://www.cinehistoire.fr/
A l’Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris
Le lundi 4 avril 2011 14h 30 : "Le 11 novembre 1940, 1ère manifestation de résistance"
Avec 4 participants Mme Danièlle Tartakowsy professeur d’histoire contemporaine à Paris 8, Mme Frida Wattenberg, le Colonel Faivre, le Colonel Dufetel, Président de l’association des « Anciens du 11 novembre 40 »
Mordka Rotgold, interné au camp de Beaune-la-Rolande correspond avec sa femme et ses cinq enfants et, peu avant d’être déporté et assassiné à
Auschwitz, il renvoie les lettres de ses enfants.
Concert AIDE MÉMOIRE, Lucienne DESCHAMPS (voix) et Sylvain DURAND (piano)
Mercredi 29 septembre 2010 à 17 heures
Auditorium du Mémorial de la Shoah
Le site internet du Struthof comporte de nombreuses ressources en ligne dont l’histoire du KL-Natzweiler-Struthof, des témoignages, des activités pour les scolaires.
Cf. Actualités
Résistants immigrés, juifs, arméniens, polonais, hongrois, espagnols, italiens et français, fusillés le 21 février 1944 au Mont-Valérien.
« Ils étaient vingt et trois qui criaient la France en s’abattant » Aragon
L’antisémitisme traditionnel trouve-t-il une nouvelle jeunesse dans le climat actuel ? Quel serait le rôle d’une institution scolaire en crise ? Le livre de Michel Wieviorka La tentation antisémite. La haine des Juifs dans la France d’aujourd’hui, écrit en 2005, peut nous aider à réfléchir aujourd’hui, face à la régression française concernant les droits de l’homme, visible dans les médias complaisants.
« Les hommes normaux ne savent pas que tout est possible » David Rousset
La fermeté des témoins de Jehovah face à la persécution nazie
« Personne ne m’aurait cru, alors je me suis tu » nous place face à un survivant de la Shoah.
Cette adaptation théâtrale commence à Clermont-Ferrand où Sam Braun, à seize ans, est arrêté par la milice française avec son père, sa mère et sa petite sœur de 10 ans et demi. Il partira très vite pour Drancy, puis pour Auschwitz où il restera jusqu’au 18 janvier 1945 pour partir ensuite en exode faire « La Marche de la Mort ».
Pendant quatre mois, jusqu’à sa libération à Prague par des membres de la Résistance Tchécoslovaque, il vivra les moments les plus démentiels de sa déportation...
Ce film, de 30 min, portrait de trois jeunes femmes, est la réalisation d’un projet associant des élèves du lycée Camille Sée à Paris, du Kohl High School à Beer-Sheva et de l’école Bayruni à Laquia.
Raphaëlle à Paris, Léah à Beer-Sheva, Rasmiye à Laquia