Envoyé combattre à l’Est il disparait en mai 1945.
On peut se demander quelle place auraient eu ses esquisses dans la littérature d’après guerre.
Sa soeur Geno, a fait paraître Dans la zone interdite. Impressions de la Seconde Guerre mondiale chez Rowohlt.
Felix Hartlaub, Paris 1941, traducteur Jean-Claude Rambach, Solin-Actes Sud, 1999, 128 p.
(Kriegsaufzeichnungen aus Paris : notes de guerre prises à Paris)
https://www.felix-hartlaub.de/
Sa vision de l’Attentat de Stauffenberg est intéressante. Il est un „Ohrenzeuge“, il a entendu la bombe dans la zone où il était stationné.
https://www.faz.net/aktuell/feuilleton/wie-felix-hartlaub-im-fuehrerhauptquartier-das-stauffenberg-attentat-erlebt-16867666.html
Il existe des notes privées des années de guerre - brouillons littéraires, fragments, observations dans l’Italie fasciste, Berlin et Paris occupé. Il regarde et décrit le monde du national-socialisme vu d’en haut.
Matthias Weichelt, Der verschwundene Zeuge - Das kurze Leben des Felix Hartlaub, Suhrkamp 2020
Der beste NS-Roman, der nie geschrieben wurde :
https://www.welt.de/kultur/literarischewelt/article117167655/Der-beste-NS-Roman-der-nie-geschrieben-wurde.html
N.M.
[1] Il y a plusieurs FHQ : la Nouvelle chancellerie, la Wolfsschanze (Tanière du Loup), le Berghof et des moins connus.