L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
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Liste des publications du Cercle les "Petits cahiers"
« En écrivant ce livre, je lance des appels, comme des signaux de phare dont je doute malheureusement qu’ils puissent éclairer la nuit. Mais j’espère toujours. »
Herbert Baum et Hella Hirsch, à la différence des étudiants de la Rose blanche, Die Weisse Rose, étaient " jeunes, juifs et communistes".
Stanislas Tomkiewicz est né à Varsovie en 1925, mort à Paris en 2003.
"On a toujours une adolescence, bien sûr ; disons que la mienne, entre les murs rouges du ghetto de Varsovie et les barbelés de Bergen-Belsen, n’a pas été tout à fait normale".
Les enfants déportés de France ou dans l’Europe occupée constituent un ensemble spécifique dans l’histoire des camps de concentration et d’extermination.
CNRD 2015 La libération des camps nazis, le retour des déportés
"Iranien athée, le réalisateur Mehran Tamadon a réussi à convaincre quatre mollahs, partisans de la République Islamique d’Iran, de venir habiter et discuter avec lui pendant deux jours. Dans ce huis clos, les débats se mêlent à la vie quotidienne pour faire émerger sans cesse cette question : comment vivre ensemble lorsque l’appréhension du monde des uns et des autres est si opposée ? La liberté, la religion, la place de la femme sont autant de sujets de discorde qui viennent peu à peu troubler la quiétude du salon, mais toujours dans une ambiance étrangement détendue où chacun se taquine mutuellement." ZED
Champ des martyrs croates, inauguration du Parc-Mémorial pour les Révoltés de Villefranche-de-Rouergue, en 2006.
1940-1944. Pauvre ou riche, artisan ou banquier, illettré ou lettré, le Juif est identifié, spolié, condamné, promis à la solution finale. Ses biens matériels, culturels, sont aryanisés.
À partir d’un fait réel que lui a confié la petite fille d’une femme emmenée en camp d’extermination depuis Allauch, non loin de Marseille, où elle habite, Michèle Juan i Cortada a imaginé cette fiction. Trois adolescents marseillais ont un exposé à faire sur la spoliation des biens juifs à Marseille pendant la guerre de 1939-1945.
Abel Pann (Abba Pfeffermann) né en Lettonie, réalise des affiches populaires pendant la guerre de 1914-1918 pour renforcer le sentiment patriotique en France. Il dénonce aussi les pogroms de l’armée tsariste.
La production de romans policiers a été considérable sous le nazisme.
Sous la République de Weimar, c’est l’époque des grands criminels avec les films comme "Le Docteur Mabuse", "M le Maudit". Le roman criminel conserve une certaine liberté face au national-socialisme. C’est une littérature en marge, qui ne peut être "mise au pas".