L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
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Liste des publications du Cercle les « Petits cahiers »
Le 4 février 2016 à 14h, auditorium de l’Hôtel de ville, Ciné-Histoire organise une séance pour les élèves qui font le concours 2016.
Après un entracte, dû à la fermeture de la Pagode pour notre Ciné-club et aux conférences de la Cop 21 à l’Hôtel de Ville, nous reprenons nos activités dès le 9 janvier 2016 au cinéma les 7 Parnassiens avec la projection du film émouvant de Carmen Castillo « Rue Santa Fe » qui s’inscrit dans notre cycle « Exils, migrations et murs »
Un témoignage sur un résistant de Seine et Marne par son fils.
La population de Salonique au début du XXe siècle est une mosaïque. Presque tous les habitants parlent le turc et le « juif » (le judéo-espagnol).
Recherche : https://sofistories.com/2016/03/27/a-teenager-who-saved-17-jewish-boys-from-the-nazis/
En 2016, le livre de Hitler, Mein Kampf, accessible dans une édition critique réalisée par l’Institut d’Histoire contemporaine de Munich.
Ciné-Histoire. Dans le cadre de la journée de prévention du génocide et des crimes contre l’Humanité
19 janvier 2016
Après avoir été occupé par l’Abwehr, service de renseignements de l’état-major allemand en 1940, le palace est réquisitionné sur ordre du général de Gaulle, en 1945, pour devenir un centre de rapatriement.
L’exposition continue de tourner en France en 2017 et 2018.
http://lutetia.info/
I. Texte extrait d’un article de Brigitte Vinatier, sur le livre de Virginie Linhart « La vie après » éditions du Seuil, 2012.
II. Texte extrait de « Les camps de la mort ; dessins d’un rescapé » Shelomo Selinger, 2005 ; préface signée par Henry Bulawko.
Considérés comme des « cliques », les mouvements de jeunes antinazis ont été criminalisés par les nazis, ignorés et non reconnus après la guerre.
Les Einsatzgruppen, unités spéciales, en lien avec les unités combattantes, la gendarmerie et la police roumaines, recrutent des auxiliaires locaux : policiers, gardes, miliciens et des Volksdeutsche, des nationalistes ukrainiens, baltes, biélorusses et roumains. Ils massacrent non seulement des civils désarmés, des hommes, femmes et enfants juifs, mais aussi des prisonniers de guerre russes capturés, blessés ou non, en usant de tous les moyens...