Des comptes rendus, des lectures de films, des livres à lire.
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« Mémoires gravées Les timbres racontent la guerre 39-45. » exposition jusqu’au 8 Novembre 2015.
CR par Catherine Monjanel
Sur les traces d’une famille disparue à Bolechow, Galicie (Ukraine aujourd’hui).
Une autobiographie qui se lit comme un roman d’aventures, un témoignage d’un point de vue inédit sur la vie quotidienne en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale, un livre passionnant.
Il y a 100 ans, le génocide des Arméniens.
Exposition jusqu’au 27 septembre 2015, au Mémorial de la Shoah.
Ce livre d’histoire a pour sujet la quasi destruction des Juifs de Rouen et de son agglomération. Il s’intègre dans l’histoire de la Shoah en France.
« Michel, Jacques ou François ont 20 ans en 1943, comme des centaines de milliers de jeunes, ils sont réquisitionnés par Vichy pour le Service du Travail Obligatoire, le STO, et arrachés à leurs vies pour travailler en Allemagne au service du régime Nazi. Cette expérience a marqué une génération tout entière, une majorité silencieuse à laquelle ce film souhaite donner la parole. »
APITZ Bruno, Nackt unter Wölfen ( « Nu parmi les loups »), Halle, RDA, 1958 ; Paris, éd. Français Réunis, 1961.
BEYER Frank, Nu parmi les loups, film de RDA, 1963, d’après le livre de Bruno Apitz
« En écrivant ce livre, je lance des appels, comme des signaux de phare dont je doute malheureusement qu’ils puissent éclairer la nuit. Mais j’espère toujours. »
1940-1944. Pauvre ou riche, artisan ou banquier, illettré ou lettré, le Juif est identifié, spolié, condamné, promis à la solution finale. Ses biens matériels, culturels, sont aryanisés.
À partir d’un fait réel que lui a confié la petite fille d’une femme emmenée en camp d’extermination depuis Allauch, non loin de Marseille, où elle habite, Michèle Juan i Cortada a imaginé cette fiction. Trois adolescents marseillais ont un exposé à faire sur la spoliation des biens juifs à Marseille pendant la guerre de 1939-1945.
La production de romans policiers a été considérable sous le nazisme.
Sous la République de Weimar, c’est l’époque des grands criminels avec les films comme « Le Docteur Mabuse », « M le Maudit ». Le roman criminel conserve une certaine liberté face au national-socialisme. C’est une littérature en marge, qui ne peut être « mise au pas ».