Ressources pédagogiques

Sous le régime de Vichy, de nombreux gendarmes ont collaboré avec le système nazi, d’autres ont rejoint la Résistance.

Une projection du film de Pascal Magontier « Auschwitz Lutetia aura lieu en présence de la fille du témoin Hélène Bercau , le mardi 10 mars 2015 à 14h 30 à la salle des bleuets Hôtel des Invalides, dans le cadre du CNRD 2015, Le Retour.

"J’ai réalisé le Monument de Drancy à la suite d’un concours international. Il est appelé à perpétuer la mémoire des Juifs enfermés dans le camp installé en ce lieu, d’où ils furent déportés dans les camps d’extermination nazis. J’espère qu’il sera à même de transmettre aux générations futures les émotions qu’en qualité de rescapé des camps nazis, j’ai revécues deux années durant, en travaillant à cette œuvre."

Un homme « ordinaire », employé, aux Chemins de fer du Nord, mais qui va connaître un parcours hors-norme. Pierre Hachin.

« En écrivant ce livre, je lance des appels, comme des signaux de phare dont je doute malheureusement qu’ils puissent éclairer la nuit. Mais j’espère toujours. »

Herbert Baum et Hella Hirsch, à la différence des étudiants de la Rose blanche, Die Weisse Rose, étaient " jeunes, juifs et communistes".

Les enfants déportés de France ou dans l’Europe occupée constituent un ensemble spécifique dans l’histoire des camps de concentration et d’extermination.
CNRD 2015 La libération des camps nazis, le retour des déportés

« Et toi, comment as-tu fait ? … Comment as-tu fait en revenant ? Comment ont-ils fait, les rescapés des camps, pour se remettre à vivre, pour reprendre la vie dans ses plis ? C’est la question qu’on se pose, qu’on n’ose pas leur poser [2] » Charlotte Delbo.

Champ des martyrs croates, inauguration du Parc-Mémorial pour les Révoltés de Villefranche-de-Rouergue, en 2006.

1940-1944. Pauvre ou riche, artisan ou banquier, illettré ou lettré, le Juif est identifié, spolié, condamné, promis à la solution finale. Ses biens matériels, culturels, sont aryanisés.
À partir d’un fait réel que lui a confié la petite fille d’une femme emmenée en camp d’extermination depuis Allauch, non loin de Marseille, où elle habite, Michèle Juan i Cortada a imaginé cette fiction. Trois adolescents marseillais ont un exposé à faire sur la spoliation des biens juifs à Marseille pendant la guerre de 1939-1945.