Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah

CNRD 2018 « S’engager pour libérer la France » 

les mots du sujet
mardi 18 avril 2017

Lutter pour libérer la France, pays de la Révolution, des droits de l’Homme, du programme du CNR, avec le rétablissement des libertés, de l’égalité, pour retrouver la République. Faire quelque chose.

CNRD 2018 : Le thème de l’édition 2017-2018 : S’engager pour libérer la France
http://www.education.gouv.fr/cid53745/le-concours-national-de-la-resistance-et-de-la-deportation.html

CNRD 2018 : « S’engager pour libérer la France » : les mots du sujet

Une lecture superficielle de ce sujet pourrait conduire les élèves à ne travailler que sur la résistance armée mise en œuvre pour combattre les Allemands et les Italiens et aboutir à la fin de l’occupation militaire et policière de la France.
Pourtant ces mots sont plus riches de sens et ouvrent bien d’autres pistes de recherche :

S’engager

S’engager comporte quatre significations :
*faire une promesse,
*prendre publiquement position,
*contracter un engagement militaire,
*commencer/se lancer dans,

et connait de multiples synonymes dont choisir, entreprendre, participer, s’enrôler, se risquer …

De 1940 à 1944, ceux qui se sont engagés (résistance intérieure ou extérieure) ont pu choisir des formes d’actions, de luttes, et donc de risques très différents. Le site du Cercle d’étude a publié de multiples articles sur ces différentes formes d’engagement.

- Rejoindre les forces alliées ; rejoindre les forces françaises libres, combattantes à Londres ou dans les colonies = résistance extérieure

Pour la résistance intérieure :
- Contre-propagande et appels à l’action (journaux clandestins, tracts, manifestations et grèves …). Rôle des réseaux et mouvements, des artistes …
- Communication avec l’extérieur, les Alliés (renseignement … accueil et protection des parachutés …) convoyage des aviateurs alliés abattus
- Aide aux persécutés (caches, faux-papiers, filières d’évasion …). Le sujet du CNRD de 2008 abordait cet aspect : « L’aide aux personnes persécutées et pourchassées en France pendant la Seconde Guerre mondiale : une forme de résistance ». « Prisonniers de guerre évadés, aviateurs alliés en fuite, résistants pourchassés ou souhaitant poursuivre le combat hors de métropole, étrangers réfugiés, juifs, tsiganes, francs-maçons, réfractaires au STO ont été aidés par de nombreux Français. Ces sauveteurs, qui ont souvent payé de leur vie des gestes essentiels de solidarité et d’humanité, venaient de tous les horizons, avec des motivations diverses, et n’appartenaient pas forcément à un mouvement ou un réseau organisé.
Les recherches des élèves pourront porter sur les témoignages locaux recueillis ou lus. Il leur reviendra de présenter les formes d’actions prises par cette résistance et d’analyser les valeurs qui sous-tendent de tels actes. [1] »
- Attentats, sabotages, affrontement direct (maquis …) = lutte armée, l’AS, les FTP

monument Jean Moulin à Salon de Provence, photo Francis Bellin

Libérer

Libérer évoque la libération du territoire de l’occupation allemande, mais plus largement la libération de tout ce qui caractérisait la situation entre 1940 et 1944 : régime de Vichy, collaboration, polices allemandes et françaises traquant les résistants, les juifs, les Tsiganes ... Le Cercle a déjà abordé cette réflexion
 [2] :

Libération = élargissement, délivrance, affranchissement, émancipation, démobilisation

1. fin de l’occupation militaire (allemande et italienne) = combats armés entre les forces en présence (Alliés + FFI + FFL face aux armées allemandes voire italiennes + organisations de répression allemandes et vichyssoises)
2. être libéré c’est ne plus subir la répression politique :
* arrestation, enfermement, torture, exécution ou déportation des résistants ; démembrements de certains maquis
* enfermement dans des camps d’internement d’otages, d’ « indésirables » de toutes sortes
3. être libéré c’est ne plus subir les déportations pour raison « raciale »
4. être libéré c’est ne plus subir la terreur : exécutions arbitraires = assassinats politiques (par la Milice entre autres), massacres de civils
5. être libéré c’est ne plus être soumis aux contraintes quotidiennes : rationnement, couvre-feu, censure, contraintes imposées par l’occupant : le STO, les Ausweiss (laisser-passer) ...
6. c’est donc exprimer dès août 1944 pour Paris (un peu plutôt pour les territoires à l’ouest et au sud, nettement plus tard pour l’est de la France) une joie, un enthousiasme, un appétit de vivre, de consommer, de s’exprimer, de s’amuser ...

La France

Le Chant des partisans imprimé pour la première fois à Auch (Gers)

La France : ce n’est pas seulement l’ « hexagone », le territoire métropolitain [3] :

1. après l’armistice de 1940, La France métropolitaine est organisée en différentes zones (= statuts administratifs, politiques ; notions d’État français « libre » et de zones d’occupations allemande et italienne + l’Alsace et une partie de la Lorraine qui sont annexées au Reich ) ; après les débarquements le 6 juin 1944 et le 15 août 1944 = reflux progressif des troupes allemandes de la Normandie vers l’Alsace et de la Provence vers l’Alsace mais aussi le Benelux et l’Allemagne, l’objectif des Alliés étant d’atteindre Berlin.

2. Il faut considérer à part la Corse du fait de sa spécificité quant à sa libération Libération du territoire : la Corse

3. l’Empire : colonies + protectorats + territoires sous mandats SDN ;
le cas de l’Afrique du Nord (débarquement de novembre 1942 ; guerre de Tunisie ; libération à la mi-1943) est à considérer de manière spécifique.


Le sujet « s’engager pour libérer la France » est donc une approche qui reprend des sujets des CNRD précédents et les élèves peuvent puiser dans les ressources du Cercle d’étude concernant ces différents thèmes :

2008 : « L’aide aux personnes persécutées et pourchassées en France pendant la Seconde Guerre mondiale : une forme de résistance. »
2013 : « Communiquer pour résister(1940-1945) ».
2014 : « La libération du territoire et le retour à la République ». Libération du territoire et retour à la République (analyse du sujet)
2016 : «  Résister par l’art et la littérature  ».

Il faut bien évidemment cerner les formes d’action mais aussi les risques encourus : arrestation, torture, emprisonnement, déportation :
DVD (5) : CNRD La répression de la Résistance en France : des résistants déportés témoignent
Etudier la déportation de répression et la déportation de persécution

Le 11 novembre 1940, manifestation des lycéens et des étudiants sur les Champs-Élysées et devant l’arc de triomphe de l’Étoile. Revendiquer, contester.
"Tous les étudiants sont solidaires pour que Vive la France !"
Des étudiants sont arrêtés et torturés dans les prisons.

Les 5 W

Et comme chaque année, les élèves peuvent enrichir leur réflexion en utilisant la technique journalistique des 5 « w » [4] :

- Qui ? = qui s’engage ? = quels sont les âges, sexes [5] qui a fait le choix de la Résistance, nationalités (parmi les étrangers, penser aux FTP-MOI)

Paul Le Goupil, résistant et survivant d’Auschwitz et de Buchenwald

Les étrangers dans la Résistance à Paris carte :
http://www.generiques.org/carte-multimedia-les-resistants/
Les FTP- MOI, ces étrangers qui ont combattu pour la France
L’affiche rouge, Missak Manouchian
Olga Bancic, résistante, guillotinée à Stuttgart

professions, appartenances philosophiques, religieuses, politiques, syndicales …, de ceux-celles qui décident de ne pas se contenter de vivre au jour le jour et ne veulent plus subir ce qu’imposent le gouvernement et l’occupant, pour laver la honte de la France de Vichy.

Joseph Piet, dit Pat, lycéen engagé dans la Résistance dès juin 40, déporté
Les cinq martyrs du lycée Buffon.
L’assassinat de Georges Mandel
Pierre Lelu, 1910- 1944, Maquis de Saint -Mammès
Vivre c’est vaincre, André Rogerie
Jacques Lazarus, l’AJ
Sam et Rosine Radzynski
Henri Nanot, Georges Guingouin, des Résistants méconnus
Des résistants parmi les gendarmes en Seine et Marne
France Bloch et Frédo Sérazin film de Marie Cristiani
Peter Gingold, "Jamais résignés". Résistance par le "Travail allemand"
Robert Waitz, résistant, déporté, témoin au procès de Nuremberg, par Georges Hauptmann
Jacques Decour 1910-1942, résistant, écrivain
des résistants méconnus : Pierre Hachin, résistant-déporté Voix du Nord
Ces résistants et résistantes à ne pas oublier 
Fernand Zalkinov, une figure méconnue de la résistance

Les femmes dans la résistance :
http://clioweb.canalblog.com/archives/2018/01/05/36019556.html

Quoi ? = quels regroupements, organisations, moyens matériels et moraux, politiques et militaires sont mis en œuvre pour tenter d’assurer la réussite de son engagement, le succès des actions.

Quand ? = la chronologie des années 1940 à 1944 (fin de l’occupation du territoire français métropolitain) est à maîtriser car le contexte n’est par exemple pas le même pour s’engager en juin 1940, novembre 1942, ou juin 1944 et le nombre de personnes qui s’engagent est aussi très différent dès le 18 juin 1940 ou à la fin de la guerre.

Où ? = outre les territoires définis ci-dessus, il faut aussi prendre en compte les spécificités locales de la région, du milieu (urbain ou rural ; très grande ville ou petite bourgade) où la personne s’engage.

Pourquoi ? / Pour quoi ?  :
Quels éléments de sa vie personnelle poussent la personne à s’engager ? Quelles sont les causes profondes et conjoncturelles qui lui donnent le déclic de l’engagement ? (= passer de la désapprobation à l’action).
Quelles sont ses finalités, c’est-à-dire pour quoi, dans quels buts la personne s’engage-t-elle : apporter de l’aide à des personnes ? chasser l’occupant ? retrouver la Liberté ? réinstaller la République ? Construire une nouvelle organisation politique et sociale ? … ?

Comment ? = quels moyens sont utilisés individuellement au quotidien ?
rester dans son milieu ou entrer en clandestinité,
rester sur le territoire métropolitain ou partir hors de l’hexagone,
arriver à survivre au quotidien = être nourri, logé, blanchi, tout en étant dans l’action, l’engagement
se déplacer (en particulier franchir la ligne de démarcation) mais aussi les frontières terrestres (Espagne, Suisse) et les frontières maritimes pour gagner les États Unis, l’empire colonial, l’Angleterre seules alternatives à une mort personnelle ou sociale programmées

Conséquences ? =
- conséquences personnelles : échapper à la répression ou au contraire être arrêté, torturé, emprisonné, déporté ; retour ou non à la « normale » après la guerre être reconnu, honoré par la collectivité après 1945 parce que ayant contribué à la Libération de la France – le cas des Justes Pour une histoire des Justes
- conséquences collectives la fin de la guerre ; l’épuration … la reconstruction, le programme du CNR [6].

Ce sujet très vaste doit être aussi abordé en analysant des exemples précis permettant aux élèves de cerner concrètement ce que représentait entre 1940 et 1945 le choix de « s’engager pour libérer la France ».

Martine Giboureau

Jean Moulin face aux Alpilles
Jean Moulin, mort comme ses camarades du combat clandestin, pour que vive la France, photo Francis Bellin.

Médiagraphie

Résister : sitographie

Sur le CNRD
http://clioweb.canalblog.com/tag/cnrd

"À aucun moment nous ne nous sommes posés la question de faire autre chose". Jean-Pierre Vernant :
http://clioweb.canalblog.com/archives/2017/11/05/35838036.html

Jean-Pierre Vernant, Mythe et politique et La traversée des frontières
http://clioweb.free.fr/dossiers/39-45/resistants.htm

Hommage aux enfants de Saint Victor, rue d’Endoume, Marseille 7e
Tombés pour leur idéal et pour que vive la France.

Du côté des femmes
Marie-Madeleine Fourcade (Marie-Madeleine Bridou) épouse Méric, réseau Allliance
Berty Albrecht (Berthe Wild, épouse Albrecht),
Lucie Aubrac (Lucie Bernard, épouse Samuel) Lucie Aubrac au lycée Edgar Quinet
et Hélène Viannay (Hélène Mordkovitch, épouse Viannay).
BOHEC Jeanne, La Plastiqueuse à bicyclette, Éditions du Félin, 1999.
COINTET Michèle, Marie-Madeleine Fourcade, un chef de la Résistance, Perrin, 2006.
FOURCADE Marie-Madeleine, L’Arche de Noé, Fayard, 1968.
Autres femmes :
Andrée de Jongh dirigea Comète, Pearl Witherington dirigea le réseau SOE Wrestler comme sa collègue Lise de Baissac le réseau Artist, Gabriele Picabia mère d’Anne Berest, La Carte postale pour Gloria SMH, Alice Gorge pour Georges-France, Marie Louise Dissart pour Françoise, 40 rue de la Pomme à Toulouse.

KRIVOPISSKO Guy, LEVISSE-TOUZE Christine, TROUPLIN Vladimir, Dans l’Honneur et par la victoire. Les femmes compagnons de la Libération, Paris, Tallandier, 2008.
MORIN-ROTUREAU Evelyne (dir.), Combats de femmes, Françaises et Allemandes, les oubliées de la guerre, Paris, Autrement, 2001.
SAIGAl Monique, Héroïnes françaises, 1940-1945, Courage, force et ingéniosité, Editions du Rocher, 2008.
Brigitte Friang, résistante et agente du BCRA au Bureau des Opérations Aériennes. Déportée à Ravensbrück.
GRUNWALD-SPIER Agnes, Women’s Experiences in the Holocaust. In Their Own Words, Amberley Publishing, 2017.

Roberte Breuilly-Jay, résistante, déportée à Ravensbrück
Marie-Claude Vaillant-Couturier, déportée à Auschwitz et à Ravensbrück
Danielle Casanova, résistante communiste, convoi du 24 janvier.
Geneviève de Gaulle-Anthonioz au Panthéon
Paulette Sliwka-Sarcey
Anne Voland, informatrice et agent de liaison
Du côté des femmes et de l’engagement dans la Résistance », par Catherine Lacour-Astol :
https://ecoleclio.hypotheses.org/493

rencontre décisive entre Charles de Gaulle et Jean Moulin le 25 octobre 1941.

6500 faits de Résistance recensés en Ile-de-France
La Base "Ile-de-France" repose uniquement sur les archives de la répression, de juillet 1940 à la mi-août 1944, avant les combats de la Libération.
http://www.museedelaresistanceenligne.org/evenement.php

Poitiers :
Cinq étudiants de 19 à 21 ans, condamnés à perpétuité par Vichy. Roger Rieckert,Jacques Massias, Marc et Jacques Delaunay, fusillés par l’ennemi le 6 oct.1943. Seul Jean Gautier vivra.
Image

Bibliographie

Robert BELOT, Henri Frenay. De la Résistance à l’Europe
CASALIS André, La Mémoire des Français Libres. Hommes et Combats (sous la direction de), 7 tomes, Fondation de la France Libre, 2002.
Jean CASSOU, La Mémoire courte
CHEVEIGNÉ Maurice de, Radio libre 1940-1945, Éditions du Félin, 2004.
CRÉMIEUX-BRILHAC, Jean-Louis, De Gaulle, la République et la France Libre, 1940-1945, Perrin, collection « Tempus », 2014.
Robert GILDEA, Nouvelle histoire de la Résistance, (rôle des femmes, étrangers, Juifs).
CORDIER Daniel, Alias Caracalla, Gallimard, 2009 (réédition collection Folio, 2012).
CORDIER Daniel, La République des Catacombes, Gallimard, 1999.
CORDIER Daniel, Jean Moulin. L’inconnu du Panthéon (3 tomes), Jean-Claude Lattès, 1989.
GUINGOUIN Georges, Quatre ans de lutte sur le sol limousin, Paris, Hachette, 1974
Pierre LABORIE, Le chagrin et le venin. La France sous l’Occupation, mémoires et idées reçues, Paris, Bayard, 2011. Histoire et mémoire de la Résistance (Pierre Laborie)
LEVISSE-TOUZÉ Christine, et VEILLON Dominique, Jean Moulin : Artiste, préfet, résistant (1899-1943), Tallandier, Ministère de la défense (SGA/DMPA), 2013.
SAINCLIVIER Jacqueline et BOUGEARD Christian (dir.), La Résistance et les Français Enjeux stratégiques et environnement social, PUR, 1995, accès libre (open edition) dont "Le monde rural et la Résistance"
http://books.openedition.org/pur/16338
VAST Cécile, L’identité de la Résistance, Être résistant, de l’Occupation à l’après-guerre, Payot, 2010, 384 p.

Filmographie
Walter. Retour en Résistance, Gilles Perret, C-P Productions, coll. « Un Pas de côté », diffusion Les Mutins de Pangée,1 h. 23, 2010.
Les Jours heureux. Quand l’utopie des résistants devint réalité, Gilles Perret, C-P Productions, coll. « Un Pas de côté », diffusion Les Mutins de Pangée, 1 h. 37, 2013.
https://clio-cr.clionautes.org/walter-retour-en-resistance-et-les-jours-heureux-quand-l-utopie-des-resistants-devint-realite.html
Nos patriotes, film de Gabriel Le Bomin, 107 min., 2017, adaptation du roman Le terroriste noir, Tierno Monénembo, Seuil, Editions Points
http://www.zerodeconduite.net/dp/zdc_nospatriotes.pdf
et aussi :
Silence de la mer, Jean Pierre Melville, 1949
L’armée des ombres, Jean Pierre Melville, 1969
Lucie Aubrac, Claude Berri, 1997
L’Instinct de Résistance, documentaire de Jorge Amat, réalisé en 2011, 86 min, avec Stéphane Hessel, Pierre Daix, Armand Gatti et Serge Silberman.
Présentation du film (avec de l’esp.) :
http://www.youtube.com/watch?v=n7NkJkm1A4U
Extraits :
http://www.youtube.com/watch?v=pvZ_1560ZO4
lesresistances.france3.fr/home

Les lycéens, le Traître et les nazis, David André, Compagnie des phares et balises, 2020 (Lycéens du Corps Franc Liberté)
https://rdv-histoire.com/programme/edition-2021-le-travail/les-lyceens-le-traitre-et-les-nazis

Les valeurs de la Résistance :
http://www.resistancemarseillaise-r2.fr/file/Valeurs%20de%20la%20Resistance.pdf
Marseille 7e,des plaques pour se souvenir

Aragon :
https://www.franceculture.fr/litterature/louis-aragon-lit-je-vous-salue-ma-france?

Réseau Canopé : Concours National de la résistance et de la déportation, Des ressources pour participer : https://www.reseau-canope.fr/cnrd/

le Maitron :
http://maitron-fusilles-40-44.univ-paris1.fr/

liste des réseaux :
http://www.france-libre.net/liste-reseaux/

Un outil :
https://pedagogie.ac-reims.fr/index.php/histoire-geographie-c4/enseigner-hg-c4/item/4790-narration-multimedia-pour-etudier-la-deportation-des-enfants-juifs-de-troyes#

[5Les femmes ont joué un rôle important. Le Cercle publie des biographies de quelques unes d’entre elles dont par exemple celles de Liliane Lévy-Osbert, Yvette Lévy, ou plus connue celle de Charlotte Delbo.

[6 Le Programme du CNR, préface de Stéphane HESSEL, éd. L’Esprit du temps, 2013. Texte intégral