L’association Cercle d’étude de la Déportation et de la Shoah-Amicale d’Auschwitz a été créée par l’Amicale des Déportés d’Auschwitz et des camps de Haute-Silésie, aujourd’hui UDA, Union des déportés d’Auschwitz, et des professeurs d’Histoire, dont l’APHG, pour développer l’enseignement de l’Histoire de la déportation et de la Shoah dans sa dimension universelle, assurer le relais entre les anciens déportés et les jeunes générations, inciter à la réflexion sur l’actualité de la défense des droits de l’Homme. Elle se donne pour mission de maintenir vivante la mémoire de la Shoah, contre le négationnisme et l’oubli de ces événements, persuadée que l’étude de la Déportation et de la Shoah a un intérêt universel, qu’elle peut donner à tous, aujourd’hui et demain, les moyens de réfléchir et de résister aux tentations racistes, xénophobes et totalitaires.
Le Cercle d’étude est une association laïque et indépendante.
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Liste des publications du Cercle les "Petits cahiers"
"De Malchow, Jacqueline est partie avec une amie, Simone. Elles ont marché avec des prisonniers de guerre, d’autres déportés, auxquels s’étaient mêlés des civils allemands... "
"Jeune Allemand antifasciste exilé en 1933, Werner Thalheim a vécu de 1931 à 1937 dans la communauté de la Coûme-Mosset."
Deux époques, deux écritures. "Grand-peur et misère du IIIème Reich" et "Rumeurs", des faits de société des années trente et d’aujourd’hui. Bertotl Brecht et Anne Marie Collin
Paul Grüninger, commandant de police qui outrepassant les ordres, vient en aide à 3600 juifs en leur fournissant des visas pendant que 30 000 juifs étaient refoulés de Suisse.
Un témoignage sur la débâcle de l’armée de Hitler et la reprise en main par la brigade Dirlewanger.
De nombreux criminels nazis n’ont pas été condamnés par la justice allemande et sont morts dans leur lit.
La justice d’après guerre a été indulgente envers les coupables.
Un livre qui se lit comme un roman policier, qui peut être lu en classe de DNL.
Cette exposition, visible au Mémorial de la Shoah et qui se termine le 28 septembre 2014, présente environ 500 photos, prises tant par des soldats allemands que par des Juifs, photographes professionnels ou amateurs.
La chute du Mur a évidement modifié des choses, avant tout par la prise en compte de la Shoah à l’Est. Cela a permis non seulement de sortir d’une vision occidentale des choses, celle de "La Destruction des Juifs d’Europe"...mais aussi de réunir des historiographies jusque là largement séparées." Claire Zalc, Agone n° 53, p. 95.
Témoignages de deux victimes : Charles Baron, déporté à 16 ans parce que Juif et Jeanne Allaire-Kayigirwa qui, à 16 ans également, a échappé de peu à la mort, poursuivie pendant trois mois par les tueurs hutus.
"Sur la ville un vol de coquecigrues
Traque des fuyards à travers les rues"
un poème de Louis Aragon à l’origine "D’une petite rafle provençale..."